Lambert Dousson

Lambert Dousson est agrégé et docteur en philosophie. Professeur de Sciences humaines, il enseigne l’histoire et la théorie critiques du design, ainsi que l’histoire des arts sonores, et coordonne l’Unité de recherche « Art et société » de l’ENSA Dijon. Ses recherches portent sur les rapports entre musique et violence, et sur le statut de la subjectivité dans les théories de l’écriture et de l’écoute musicales aux XXe et XXIe siècles. Membre du comité de rédaction de la revue Transposition. Musique et sciences sociales (https://journals.openedition.org/transposition/), il est l’auteur de deux livres (Une manière de penser et de sentir : essai sur Pierre Boulez, Presses universitaires de Rennes, 2017 ; « La plus grande œuvre d’art pour le cosmos tout entier ». Stockhausen et le 11 septembre : essai sur la musique et la violence, MF, 2020), de nombreux articles, des traductions, a dirigé plusieurs publications collectives, et il intervient régulièrement dans des colloques, des séminaires et à la radio (https://hcommons.org/members/lambertdousson/). Il s’intéresse aussi à la théorie féministe, à l’écologie politique, aux jeux vidéo et aux zombies.

Dernières publications/interventions :

• France Musique, « Les uchronies musicales de Laurent Vilarem », épisode : « Et si Stockhausen avait fait un album pop ? »
• « Dans l’estomac de Dieu. Musik im Bauch de Karlheinz Stockhausen », texte pour le Festival Musica de Strasbourg
• « Tue », dans La Violence en musique, ouvrage collectif sous la direction de Denis Le Touzé et Muriel Joubert (Presses universitaires de Lyon, 2022).
• « Les voix du 11 septembre : l’archive et le cri », dans Les champs sonores et musicaux de la barbarie moderne, ouvrage collectif sous la direction de Cécile Auzolle et Nathan Réra, éditions Aedam Musicae, 2022.