21.11.2012 → 02.12.2012
Organisé conjointement par six structures du Grand Est, le Noumatrouff à Mulhouse, le Moloco en Pays de Montbéliard, la Poudrière à Belfort, la Rodia à Besançon, la Vapeur à Dijon et les Eurockéennes de Belfort, GéNéRiQ invite environ 70 artistes de 14 pays qui se produiront dans une douzaine de villes sur le territoire de la Métropole Rhin Rhône. Cette aventure collective mise sur l’audace musicale et investit la ville et des lieux de toute nature pour aller à la rencontre du public. Artistes reconnus présentant de nouveaux spectacles, groupes de Colombie et du Danemark à l’honneur cette année, musiciens issus des régions traversées par le festival, nouveaux espoirs de la scène française et internationale, se côtoient dans un joyeux brassage musical qui se traduit en plus de 100 concerts dont beaucoup sont en accès gratuit.
À Dijon, GéNéRiQ s’installe du 21 au 26 novembre, mais aussi pour la première fois à Quétigny le 24. Un lieu central, la Ferronnerie, rue Auguste Comte, permettra aux festivaliers de se retrouver en fin de journée autour d’un verre pour prendre le pouls du festival et découvrir les artistes colombiens jamais croisés sous nos latitudes. De là, le festival invite le spectateur à se rendre dans les multiples lieux investis : le Consortium, la Vapeur, l’Ecole Nationale Supérieure d’Art, la Patinoire, l’Atelier (salon de coiffure), la Péniche Cancale, le Grand Théâtre, l’Athénéum, le musée Magnin, le Hit Club et l’Espace Mendès France à Quetigny. Grâce à l’énergie de toutes les équipes des lieux impliqués, de celle de la Vapeur, des techniciens du spectacle, des bénévoles et des nombreux partenaires investis dans GéNéRiQ, c’est toute la ville qui s’apprête à vibrer de nouvelles sonorités connues ou inconnues.
Concert de Weekend Affair
22 novembre 2012, salle volume de l’ENSA Dijon
Avec un tel pedigree, difficile de passer à côté : le premier EP du chanteur folk Louis Aguilar, sans ses habituels The Crocodile Tears mais avec Cyril Debarge (le batteur du groupe électrorock lillois We Are Enfant Terrible), a été produit pour le label parisien du moment DeBonton par Rubin Steiner. Cette supposée affaire d’un seul week-end finalement plus “new wave” qu’électro ou bien folk risque donc d’enflammer GéNéRiQ avant de se répandre comme une traînée de poudre…
