22.01.2014 → 24.01.2014
Présentation des travaux des étudiants de 2e année Art dans le cadre des cours de dessin d’imagination
Le pari de départ était de réaliser une œuvre collective comme un Road Movie, formant un récit, mémoire des déplacements urbains, en dessinant en grand format à partir d’une esquisse commune, sur le principe contraire du cadavre exquis. Ce jeu consistait dans un premier temps à définir les groupes en fonction des idées et affinités, à effectuer à partir de diverses propositions, plusieurs ensembles en tenant compte des contraintes des supports, des choix plastiques, des techniques, et d’aboutir sous forme d’un dessin mural collectif qui donne l’impression au spectateur d’être un dessin individuel.
L’élément moteur a été de réaliser ces ensembles avec l’idée clé de faire une concession avec l’autre, et pouvoir réfléchir et agir en termes de globalité, au bénéfice du travail collectif, et se poser les questions : Comment ces œuvres dialoguent entre elles ?
Comment font-elles intervenir d’autres médiums ? créent une cohérence, ou une incohérence ? Se mettent en place à l’intérieur de l’espace de la feuille et qui, sous forme d’images successives, composent un ensemble à la fois original et singulier, construit ou déconstruit, mais porteur de sens.
Etudiants participants :
Groupe 1 : CARREIRO Jessica, CONOT Raphaël, HERAULT Corentin
Groupe 2 : GRAFF Nicolas, JOURDAN Coline, ROSE Amanda, KIM Soyeon
Groupe 3 : DEVAUX Soline, BENHAMOU Dimitri
Groupe 4 : LEBON Carole, DOS SANTOS Stéphany, FAYNOT Léa, LEBOUCHER Justine, DAVAL-FREROT Paul
Groupe 5 : STEMMELIN Chloé, VELE Maxime
Groupe 6 : LECOQ Alethia, THOMASSIN Charles, ROUSSEAU Clément
Groupe 7 : LOISON Nina, VERNIERS Florian, SPARTA Tindara
Groupe 8 : LI SHI Bai
Groupe 9 : COTE Johan, HUGUENIN Clarisse, BOUCON Victor, GROSJEAN Amélie
Groupe 10 : URENA Marie-Charlotte, LOURDIN Margaux, NEBOR Samuel, TOHIDIMOGHADAM Nima
*«Ce qu’on appelle, chez les criminels, le «modus operandi», fait qu’en présence de certains crimes les policiers peuvent dire: «C’est lui, c’est sa manière. Il a toujours frappé là et comme ça.» (L’Express, 6 nov. 1972, p.172, col.2).»
Exposition proposée par Carlos Castillo.
