04.04.2024
Comment envisager les rapports entre art et écologie ? Assiste-t-on à une nouvelle forme de renaissance dont une partie de la création en art et en design serait aux avant-postes ? Quelles ressources peut-on trouver dans les arts de toutes époques et de toute culture pour nous aider à repenser le monde ? Quels horizons s’offrent aux regardeurs, artistes, musées ? Qu’est-ce qu’une œuvre écologiquement engagée ?
Guillaume Logé conduira ses réflexions en prenant appui sur ses livres Renaissance sauvage. L’art de l’Anthropocène (Puf, 2019) et Le musée monde. L’art comme écologie (Puf, 2022).
Guillaume Logé, a commencé à réfléchir aux liens entre art et écologie au Musée d’Orsay en y lançant, en 2010, l’Atelier de la Culture et du Développement durable. Il est aujourd’hui chercheur indépendant, associé à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, consultant et commissaire d’exposition. Il est titulaire d’un doctorat en esthétique, histoire et théorie des arts (Ecole Normale Supérieure de Paris) et d’un doctorat en sciences de l’environnement (Université de Lausanne). En plus des publications précitées, il a publié, avec Noémie Goudal Noémie Goudal. Percevoir. (La Martinière, 2022) et La Perspective symbiotique : une nouvelle forme de perspective en art (Galerie Jousse Entreprise / La Pensée écologique, (en ligne), 2024). Ses prochains ouvrages : Nature sensible. En marchant avec Tal Coat (juin 2024) et Wild Renaissance. New paradigms in Art, Ecology and Philosophy (janvier 2025).
Guillaume Logé est invité par Carlos Castillo, dans le cadre de l’ARC « Art et Anthropocène, histoire et devenir «
Conférence gratuite, ouverte à tous·tes
Visiteurs extérieurs : Réservation obligatoire en utilisant ce formulaire
Pour les étudiant·e·s de l’ENSA Dijon : Inscription grâce à l’intranet Ganesh
Couv_Musée monde